Mourners
(Pleureuses)
Arbres maigres dans leur linceul, aussi vieux que les pierres... .
Pleureuses de l'amour déchu, à jamais se taisent leurs malheurs.
Ô combien de fois la lune a-t-elle brillé, reflétée dans ces eaux sombres ?
Faut-il que nous puissions entendre, les malheurs de ceux qui ont cessés leur vie ?
Ô si veux sont-ils... ils dévoilent leur interminable chagrin...
Misère éternelle, antique beauté amère.
Perdu est l'espoir de ceux-là, qui traversent les landes la douleur dans le coeur.
... Et toute la joie s'écroule, profondément enterrée, pour toujours présumée morte.
Ô si veux sont-ils... ils dévoilent leur interminable chagrin...
Misère éternelle, beauté amère me saisissant.
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