One By One / Un par un
Couplet 1 :
J'ai aimé une fille une fois elle était très jeune, tout les jours je me suis demandé ce que j'aurais pu faire. A présent elle est assise quelque part où les murs sont tous blancs, se perdant sous ces lumières fluorescentes. Chaque jour passe là où le monde semble pareil, là où les saisons viennent et changent mais je me suis trouvé de la même manière que je suis venue. Et j'ai perdu tout ce que j'avais aimé en toi, à force d'aller me perdre l'un dans l'autre comme nous avions l'habitude de le faire. Mais le temps passe et ces moments que je portais dans mon coeur chaque jour, ont à présent disparus.
Refrain :
Pendant que les montagnes admirent le visage du soleil, le ciel sourit à tout le monde ici bas. Nous nous demandons tous ce que nous aurions pus faire, mais on y passe tous, un par un.
Couplet 2 :
Comme une fleur dansant à côté du vent, comme un arbre de plus en plus mince, je n'avais rien en quoi croire. Maintenant le vent souffle à travers moi, au bord de la route, comme un train de marchandises hurlant dans creux de mon âme. Comme l'océan niché dans une couvertures d'étoiles, rêvant de la lumière de la rue, rêvant d'un autoroutes de voitures.
Explication : Il faut savoir premièrement que Robert Francis est non seulement un chanteur mais aussi un poète. Ce qui fait que, parfois, ses textes paraissent totalement incohérent. Nous en avons là un bon exemple. Le chanteur semble parler d'une jeune fille dont il était amoureux mais qui allait mal, elle semble avoir finit dans un hôpital (quelque part où les murs sont tous blancs, ces lumières fluorescentes) et le temps passe sans qu'il n'oublie son amour, mais il conclut par le fait que de toute manière, tout le monde finit par mourir.
Vos commentaires
dommage pour la traduction...