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Paroles de la chanson «Un Jour Ou L'autre» par Debout Sur Le Zinc

Un Jour Ou L'autre (Un jour ou l'autre)

C'est une déclaration à toi, l'ami, car il est temps de dire enfin ce que je ressens pour toi, ce que tu m'a apporté. Je cesse de m'enfermer, et je t'ouvre mon coeur.
C'est grâce à toi aujourd'hui que je peux faire ça.
Tu as été là lorsque, assoiffé d'amour, mon coeur s'est jeté sur ce poison. J'espérais tant de cette vie, mais cette pomme si belle était empoisonnée, et m'a jeté à terre, ôté de toute vie.
Mais tu fus là pour me redresser. Quand ma vie s'en est allée, tu l'a retenue, et avant que je n'ai perdu toute envie de vivre, tu m'a fait renaître, revivre, redresser la tête.
Toi, tu es là, quand il n'y a personne. Dans cette vie sans fin qui parfois nous met à terre ; tu es là. Tu me sors de mes brouillard, de mes cauchemars, pour me montrer la Vie, le rayon de soleil qui me guide, à tes côtés, vers d'autres horizons. Tu sèches mes larmes, tu me rassure et me tiens le bras quand la réalité me met à terre. Sans toi, je ne sais pas ce que je serais devenu. Je ne savais pas que ça pouvais exister, de telles choses. Un personne qui pourrait me faire ressentir ça.
Je n'en attendais pas autant, mon ami.

Un jour ou l'autre, ne plus repousser ;
Un jour ou l'autre, ne plus repousser ;
Cesser de tourner sa langue avant de parler,
Cesser de tourner sa langue avant de parler,
Renoncer à cet orgueil
Renoncer à cet orgueil
Qui vous cloue le bec et vous laisse si souvent seul.
Qui vous cloue le bec et vous laisse si souvent seul.
Passer de l'ombre à l'autre sous le soleil,
Passer de l'ombre à l'autre sous le soleil,
Laisser tomber la foudre sur les oreilles
Laisser tomber la foudre sur les oreilles
De ceux qui aimeraient bien mais n'osent pas,
De ceux qui aimeraient bien mais n'osent pas,
N'osent jamais dire haut ce qu'ils pensent tout bas...
N'osent jamais dire haut ce qu'ils pensent tout bas...

(Refrain : )
(Refrain : )
Tu me désarmes, tu m'ouvres à la vie ;
Tu me désarmes, tu m'ouvres à la vie ;
Je n'en attendais pas autant, mon ami.
Je n'en attendais pas autant, mon ami.
Tu me désarmes, tu m'ouvres à la vie ;
Tu me désarmes, tu m'ouvres à la vie ;
Je n'en attendais pas autant, mon ami.
Je n'en attendais pas autant, mon ami.

À toi je le dis, j'espérais ce peu :
À toi je le dis, j'espérais ce peu :
Au jeu de la vie, gagner un peu mieux
Au jeu de la vie, gagner un peu mieux
Qu'une pomme empoisonnée en robe de printemps
Qu'une pomme empoisonnée en robe de printemps
Dans laquelle le coeur affamé
Dans laquelle le coeur affamé
Croque à pleines dents.
Croque à pleines dents.
Et là, c'est la vie qui s'en va sans prévenir,
Et là, c'est la vie qui s'en va sans prévenir,
Et toi qui ouvre les bras pour la retenir ;
Et toi qui ouvre les bras pour la retenir ;
Le temps d'une averse une seule fois versée,
Le temps d'une averse une seule fois versée,
Le temps de mourir, renaître, et s'envoler...
Le temps de mourir, renaître, et s'envoler...

(Refrain)
(Refrain)

À l'heure où la route au milieu du désert
À l'heure où la route au milieu du désert
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre,
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre,
À l'heure où la tête sortie du brouillard
À l'heure où la tête sortie du brouillard
Se demande encore quel était ce rêve bizarre,
Se demande encore quel était ce rêve bizarre,
À l'heure où la nuit décline, et le jour
À l'heure où la nuit décline, et le jour
Emmène au loin les chagrins d'amour ;
Emmène au loin les chagrins d'amour ;
À ton oreille et au monde entier,
À ton oreille et au monde entier,
Je ne le redirai jamais assez :
Je ne le redirai jamais assez :

(Refrain)
(Refrain)

 
Publié par 13013 4 5 7 le 10 février 2009 à 20h44.
Les Promesses (2006)
Chanteurs : Debout Sur Le Zinc
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