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Paroles de la chanson «De L'autre CÎté» par Ginkobiloba

De L'autre CÎté (De l'autre cÎté)

Cette chanson parle d'amour, de mort et de non-dits. Une femme chante son amour et sa tristesse pour quelqu'un qu'elle a perdu. Elle ressent un certain besoin de vérité, elle aurait aimé comprendre cette personne qui semble avoir tu quelque chose
La source de ton silence
Et ce jusqu‘à la fin.
J'ai vraiment du mal Ă  croire que l'on ait si peu Ă  se dire quand on sait que l'on va mourir
Cependant elle dit qu'un manque de comprĂ©hension n'empĂȘche pas d'aimer.
On a tous une place pour un cri d'amour, mĂȘme si l'on n'comprends pas tout et que parfois, on n'comprend rien
Cette femme, affectĂ©e par l'absence de celui qu'elle aime, affirme que la seule chose que l'on puisse comprendre est que ceux que l'on aime finiront par disparaĂźtre. L‘absence est source de souffrance mais d‘aprĂšs elle ce serait un mal pour un bien; les gens qui partent nous apprendraient Ă  faire face.
Ils ouvrent dans nos coeurs une porte vers un ailleurs, pour grandir, et cesser de fuir 
Elle semble pourtant regretter de ne plus ĂȘtre une enfant et de plus " avoir le droit " de fuir.
Mes vaines espérances de retrouver une enfance

Besoin de vérité
Besoin de vérité
Quand tout est surfait,
Quand tout est surfait,
Et le temps qui passe,
Et le temps qui passe,
Et le temps qui n'efface pas la trace
Et le temps qui n'efface pas la trace
Du chemins parcouru,
Du chemins parcouru,
Et des chemins a venir ;
Et des chemins a venir ;
Je me suis si souvent perdu,
Je me suis si souvent perdu,
Je n'ai jamais cessé de fuir !
Je n'ai jamais cessé de fuir !

On a tous une place
On a tous une place
Pour un cri d'amour,
Pour un cri d'amour,
MĂȘme si l'on n'comprends pas tout
MĂȘme si l'on n'comprends pas tout
Et que parfois, on n'comprend rien.
Et que parfois, on n'comprend rien.
Rien, sinon que rien ne va plus,
Rien, sinon que rien ne va plus,
Et qu'on ne reverra plus
Et qu'on ne reverra plus
Ceux que l'on aime...
Ceux que l'on aime...

Tu es passé
Tu es passé
De l'autre cÎté,
De l'autre cÎté,
De l'autre cÎté... (x2)
De l'autre cÎté... (x2)

La source de ton silence
La source de ton silence
Coule encore dans mes veines,
Coule encore dans mes veines,
Mais le tourment de ton Ăąme en fait
Mais le tourment de ton Ăąme en fait
Plus de bruit que ma peine,
Plus de bruit que ma peine,
Et, j'ai vraiment du mal Ă  croire
Et, j'ai vraiment du mal Ă  croire
Que l'on ait si peu Ă  se dire
Que l'on ait si peu Ă  se dire
Quand on sait que l'on va mourir...
Quand on sait que l'on va mourir...

La source de ton silence
La source de ton silence
Coule encore dans mes veines ;
Coule encore dans mes veines ;
Mes vaines espérance
Mes vaines espérance
De retrouver une enfance.
De retrouver une enfance.
Mais, quand la paix renaĂźt de tes cendre,
Mais, quand la paix renaĂźt de tes cendre,
Et que tes cendres nous rassemblent,
Et que tes cendres nous rassemblent,
C'est la vie qui recommence !
C'est la vie qui recommence !

Tu es passé
Tu es passé
De l'autre cÎté,
De l'autre cÎté,
De l'autre cÎté...
De l'autre cÎté...

Tu es passé
Tu es passé
De l'autre cÎté,
De l'autre cÎté,
Juste de l'autre cÎté...
Juste de l'autre cÎté...

Les gens qui partent,
Les gens qui partent,
C'est comme un mois de novembre :
C'est comme un mois de novembre :
Les nuits sont plus longues,
Les nuits sont plus longues,
Et nos racines tremblent.
Et nos racines tremblent.
Mais, ils ouvrent dans nos coeurs
Mais, ils ouvrent dans nos coeurs
Une porte vers un ailleurs,
Une porte vers un ailleurs,
Pour grandir, et cesser de fuir !
Pour grandir, et cesser de fuir !

Mais, ils ouvrent dans nos coeurs
Mais, ils ouvrent dans nos coeurs
Une porte vers un ailleurs,
Une porte vers un ailleurs,
Pour grandir, et cesser de fuir !
Pour grandir, et cesser de fuir !

 
Publié par 6184 2 3 6 le 23 novembre 2008 à 23h46.
Chanteurs : Ginkobiloba
Albums : Mamacita

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