Ceki, Ceki, Ceki, kontatou
Tous les politiciens à qui le pouvoir sali les mains
Et qui s'essuient tranquillement en nous éclaboussant
Les tronches en biais du petit écran
Journaliste à l'oreille électronique tout le monde en souriant
La justice cathodique, où l'instruction mène toujours
à la même peine : l'abrutissement
Toi le nationaliste qui 40 ans après, replante tes drapeaux
De haine dans les villes du soleil !
Les droits de l'homme, tout un symbole, dommage
Que dans la rue ce soit un langage inconnu
Où sont les drapeaux rouges, où sont les drapeaux noirs
Sous le pavé rien que la radioactivité
Une société mutante voilà peut être ce qui relancerait la consommation,
La con sans sommation Chevenqua le cirrhosé de la justice, un bavure sinon rien,
Et les charter bien remplis, pour les barbus forcément
Complice, n'a qu'un oeil et ses crânes rasés
Quand la flamme tricolore devient un affront national
On peut se demander de quelle façon on pourra
Guérir ce mal, oui guérir ce mal
Ceki, Ceki, Ceki, kontatou
Tous les 7 ans, tu sors ton ticket démocratiquement
Gagnant, tu t'interroges en bâillant surpris par ce droit
La campagne bat son plain
T'aurais bien des idées mais c'est trop tard il faut
Voter, confiance en qui programme de quoi
Sûr qu'au prochain septennat ça se passera comme ça
Ceki, Ceki, Ceki, kontatou
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