Toujours Ton Enfant
Magnifique chanson de Rohff qui est un hymne aux parents qu'on a tendance a trop négligé lorsqu'on est jeune.
Profonde écriture comme faire un massage à sa mère
Pour apaiser ses courbatures du haut tâches ménagères
Aux travaux sanitaires
à force de porter les courses trop fière pour les aides humanitaires
Noyer sous les factures
Les radios des fractures
Un cancer du sein contre la vieillesse cousin y'a pas d'vaccin
Une mère illettrée à l'état civil
ça vous fait ptêtre rire
Le visage buriné les mains flétrir à force de pétrir la pâte
Tous éduqué à sa sauce au citron
On lui facilite pas la tâche
à cran à cause ces enfants récalcitrants
Elle veut apprendre l'alphabet
Pour écrire une lettre au perso à son enfant enfermé
C'est ta p'tite soeur en CE1 qui s'fra dicter par ta maman
La seule qui voit clair dans ton jeu quand tu lui mens
Le physique marqué par les nombreuses grossesses
La foi et sa dévotion pour ces enfants au fond sa sagesse et dissimule sa tristesse pour conserver le soleil familial
Et quand le daron la dispute tout l'monde à mal
Même quand t'es en tord elle est couvreuse
Elle nous rallient quand y'a des conflits fraternels mère couveuse.
REFRAIN :
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, (Même quand j'aurai des enfants)
Tu s'ras toujours ma maman, (Tu s'ras toujours ma maman)
Bien qu'sa n'aille pas en c'moment, (Bien qu'sa n'aille pas en c'moment)
Tu s'ras toujours mon papa, (Tu s'ras toujours mon papa)
Même si j'ai grandi sans toi, (Même si j'ai grandi sans toi)
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, Si Dieu l'veut.
Certains darons squattent les rades
Enfermant leur raison dans une bouteille infâme
Ferme le point sur leur fille et leur femme
Nan c'est pour les pères exemplaires
Le chef de foyer qui remplit le frigidaire
Paye le loyer celui à qui tu dois ton nom tes traits
Qui à fait d'toi un ptit homme
Ta mère te dit qu't'es son portrait quand tu rigoles
Qui s'lèvent à 5 du matin avec la plus grande motivation
Le patron qui rigole pas trop ferme dans ses décisions
Celui qui organisé ta circoncision
Qui ramène le mouton le sac de riz
Qui a toujours raison le daron et ses dictons
Sur l'fauteuil muré dans ses pensées
Autoritaire qui souhaite être propriétaire sur ses terres
Pour laisser un abri à ses descendants
Bienveillant ne travaillant que pour ça
Peinant à économiser pour acheter du sable du ciment
Toujours vaillant croyant et honnête
Prend le dans tes bras pour ceux qui n'ont pas pu connaître
Ta hérité de son sang déshonore pas rabaisse pas sa fierté
Cardiaque à cause de ces années d'anxiété,
22ans j'avais pas vu l'mien on s'est r'connu à première vue
Et en s'quittant mes larmes ont dévoilées tout s'que ces années m'ont volées.
REFRAIN :
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, (Même quand j'aurai des enfants)
Tu s'ras toujours ma maman, (Tu s'ras toujours ma maman)
Bien qu'sa n'aille pas en c'moment, (Bien qu'sa n'aille pas en c'moment)
Tu s'ras toujours mon papa, (Tu s'ras toujours mon papa)
Même si j'ai grandi sans toi, (Même si j'ai grandi sans toi)
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, Si Dieu l'veut.
Quand sa stopper l'bedo et l'alcool
ça fait des dégâts dans l'raisonnement
Surtout quand t'évolue dans l'emprisonnement
Ton père a bravé bien des épreuves
Surmonté des angoisses
Préfère être éboueur que dealeur pour pas manger dans la poisse
Il connaît mieux qu'toi la misère
Si tu savais sa vie c'est la traversée du désert
à tirer la charrue d'sa famille à bout d'bras
Prend pas tes grands airs si tu fais un sport de combat
T'as des gros bras tout l'or de Doubaï vaut pas sa présence
Tu s'ras désigner à lui succéder comme un chêne déraciné
Le jour où il va décéder il t'a transmis ses vertus
T'as vêtu donné du pain et un toit
T'étais pas né qu'il pensait à toi
Jeune fille regarde ta mère marche sur ses traces
Cessent tes paillettes et strasses
Te r'gardé dans la glace
Un peu honore ta race tire la chasse de ton passé grossé
Tu s'ras pt'être une mère dans l'futur tu d'vras cacher tes dossiers
Y'a pas pire que l'regard accusateur d'un enfant
C'est harcord cesse de salir ton corps
Les plaisirs font du tord
Au bout du compte tu regrettes et tu pleures
Comme quoi les hommes se risquent des horizons qui leurrent.
REFRAIN :
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, (Même quand j'aurai des enfants)
Tu s'ras toujours ma maman, (Tu s'ras toujours ma maman)
Bien qu'sa n'aille pas en c'moment, (Bien qu'sa n'aille pas en c'moment)
Tu s'ras toujours mon papa, (Tu s'ras toujours mon papa)
Même si j'ai grandi sans toi, (Même si j'ai grandi sans toi)
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants,
REFRAIN :
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, (Même quand j'aurai des enfants)
Tu s'ras toujours ma maman, (Tu s'ras toujours ma maman)
Bien qu'sa n'aille pas en c'moment, (Bien qu'sa n'aille pas en c'moment)
Tu s'ras toujours mon papa, (Tu s'ras toujours mon papa)
Même si j'ai grandi sans toi, (Même si j'ai grandi sans toi)
Je s'rai toujours ton enfant, (Je s'rai toujours ton enfant)
Même quand j'aurai des enfants, Si Dieu l'veut.
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