Et Si... ?
La chanson phare de Lady Laistee qui l'a fait connaitre au grand public !
Et si j'tavais dit combien j't'aimais mon frère
Et si on t'avait dit baisse pas les bras sur cette Terre
Mon récit si t'as perdu un être cher
Et si... tout simplement si...
Mes rêves sont hantés,
Par ta vision j'suis tentée
Maintes et maintes fois d'pleurer,
D'crier à Dieu
Pourquoi c'est lui qu't'as pris,
Prier c'est mieux
Que désespérer,
Tempérer la peine dans ma poitrine
Pour toi la vie à l'horizon
Aucun signe du destin,
T'as voulu partir, t'as pris le mauvais chemin
Le coeur sur la main, tes soss, tes assoces,
Pour toi ça comptait mais pour eux,
Est ce que tu comptais ?
CHORUS
Et si
J'tavais dit combien j't'aimais mon frère
Et si on t'avait dit baisse pas les bras sur cette Terre
Et si j't'avais dit combien j't'aimais mon frère
Et si... tout simplement si
Et si j't'avais dit combien j't'aimais mon frère
Et si on t'avait dit baisse pas les bras sur cette Terre
Mon récit si t'as perdu un être cher
Et si... tout simplement si...
Je sais que plus
Jamais j'te reverrai et c'est sûr
Aussi sûr qu'on t'as mis en terre
Que j't'aimais mon frère
Aussi sûr qu'tes photos au mur,
Pour moi c'est dur
C'est surmonter la mort,
Me dire qu't'es là pour veiller sur nous,
Hey, ton petit frère compte sur toi
Le lâche pas, et j'te vois en lui j'ai la foi
D'le voir devenir quelqu'un
Il y met du sien
Bien sûr c'est lui qu'a le plus souffert
Mais dis rien
L'exemple du boy play d'la sape sur toi il a pompé
Fusil à pompe canon scié,
Est-ce que j'ai besoin d'dire...
C'qui s'est passé ? ! ...
CHORUS
Personne, non
Personne pourra t'remplacer
Mon chagrin est tatoué dans mon coeur à jamais
J'écris avec pour encre mes larmes
Indélébiles
La façade baisse ses armes
Marque comme l'argile
Mon mal est inguérissable
Ceux qui l'ont eu savent
Bravent les mois, les années,
Depuis lavent leur mémoire
De tous les mauvais moments,
Gravent dans leurs souvenirs les sourires
Eloignent les épaves d'une présence passée,
Assez ressassée
Mais peuvent pas s'empêcher d'rester blessés
Là ou le coeur est délaissé,
Mal de vivre ancré dans les habitudes,
Les âmes titubent, vannées, vidées.
CHORUS
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