Quand L'herbe Nous Dévore ()
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L'amertume mutile nos efforts
Mielleusement de prime abord. Alors
Tout en haut des cimes
Nos vices se décimeraient encore
Nous dessinent quand l'herbe nous dévore
De sommiers lâches en lattes rances
Déteintes vives en ultime indifférenciée
Lassitude au charme indélicat
Plaisirs monocordes et joies monotones
Nul doute ne prime
Quand les envies suppriment les remords
Nous désirent quand l'herbe nous dévore
De sommiers lâches en lattes rances
Déteintes vives en ultime indifférence
D'artifices arrogants en soldats playmobil
D'acides attouchements en gestes si malhabiles
Draps secs et perverses ont goûté mon sang
Sans autre sentiment
Songes et paroles de bois
Ne trouvent aucun éclat
Que des promesses salies
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