Comme J'ai Mal (comme j'ai mal)
" Comme j'ai mal " est le 4éme single extrait de l'album " anamorphosée ".
Cette chanson parle de métamorphose et d'abandon.
Dans le clip on voit Mylène enfant, vêtue d'une petite robe blanche (symbole de pureté, innocence). Le clip est lugubre mais les deux Myléne sont éclairés par une lumière tout au long. C'est un jeu de clarté et d'obscurité. Myléne enfant subit les coups de son père et veut se réincarner en animal. Elle trouve refuge dans un placard avec des insectes qui deviennent ses seuls amis. La chanson exprime un mal être de la jeune fille.
" Ma pensée se fige animale " elle veut appartenir au monde des insectes (scarabées, papillons, larves ? ). Elle veut quitter son corps d'être humain, ses apparences de jeune fille blessée. La petite Myléne s'intéresse au monde animal. Dans le clip, elle mange du sucre et du miel pour faire comme eux. A la fin elle se transforme en cocon, elle est prêt de son but " la transformation animale " et c'est Myléne adulte qui en sort en papillon.
La transformation en papillon est un rejet d'elle-même en enfant. C'est pour se libérer des mépris de son père " je m'éloigne du monde brutal " elle ne supporte plus ses mépris.
Et c'est en papillon qu'elle prend un nouveau départ dans un nouveau corps, une nouvelle identité
Encore une chanson très "farmer" avec un clip excellent réalisé par Marcus Nispel
Je bascule à l'horizontal
Démissionne ma vie verticale
Ma pensée se fige animale
Abandon du moi
Plus d'émoi
Je ressens ce qui nous sépare
Me confie au gré du hasard
Je vis hors de moi et je pars
à mille saisons, mille étoiles
Comme j'ai mal
Je n'verrai plus comme j'ai mal
Je n'saurai plus comme j'ai mal
Je serai l'eau des nuages
Je te laisse parce je t'aime
Je m'abîme d'être moi-même
Avant que le vent nous, sème
à tous vents, je prends un nouveau départ
Plus de centre tout m'est égal
Je m'éloigne du monde brutal
Ma mémoire se fond dans l'espace
Ode à la raison
Qui s'efface
Je ressens ce qui nous sépare
Me confie au gré du hasard
Je vis hors de moi et je pars
à mille saisons, mille étoiles
Comme j'ai mal
Je n'verrai plus comme j'ai mal
Je n'saurai plus comme j'ai mal
Je serai l'eau des nuages
Je te laisse parce je t'aime
Je m'abîme d'être moi-même
Avant que le vent nous, sème
à tous vents, je prends un nouveau départ
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