Méfie Toi De Moi
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Méfie toi des blessures, que l'on ne guérit pas,
De mes mains qui rassurent, mais en eût tellement froid,
Méfie toi de ma peau, elle se souvient de tout,
De ce qui est trop beau, et n'appartiens qu'aux fous,
Méfie toi du passé, de sa mémoire immense,
De ce qu'on qu'on croit caché, quand la vérité danse,
Méfie toi de mes peurs, qui reviennent parfois,
Méfie toi du bonheur, souvent il n'attend pas,
Méfie toi de moi, car parfois j'en habille,
Tant de fois, comme si c'était un cri,
Et même si je t'aime, plus que tout,
Méfie toi de ces chaines, que l'on se met au coup,
Et même si je t'aime, plus que moi,
Méfie toi de nos peines, et du temps qui s'en vas,
Méfie toi de moi
Méfie toi des blessure, que l'on ne guérit pas,
De mes mains qui rassurent, et en eût tellemet froid,
Méfie toi de ma peau, elle se souvient de tout,
De ce qui est trop beau, et n'appartiens qu'aux fous,
Méfie toi de moi, je me fais tant de mal,
Tant de fois, d'un chagrin imcassable,
Et même si je t'aime, plus que tout,
Méfie toi de ces chaines, que l'on se met au coup,
Et même si je t'aime, plus que moi,
Méfie toi de nos peines, et du temps qui s'en vas,
Méfie toi de moi
Méfie toi des blessure, que l'on ne guérit pas,
De mes mains qui rassurent, et en eût tellemet froid,
Méfie toi de ma peau, elle se souvient de tout,
De ce qui est trop beau, et n'appartiens qu'aux fous,
Et même si je t'aime, plus que tout,
Méfie toi de ces chaines, que l'on se met au coup,
Et même si je t'aime, plus que moi,
Méfie toi de nos peines, et du temps qui s'en vas,
Méfie toi de moi
Et même si je t'aime, plus que tout,
Méfie toi de ces chaines, que l'on se met au coup,
Et même si je t'aime, plus que moi,
Méfie toi de nos peines, et du temps qui s'en vas,
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