Cinglés
Cette chanson parle du suicide, a la manière violente d'Enhancer, qui fait bien sur de la provocation pour nous faire réagir.
Dans cette chanson, donc, on parle des personnes suicidaires, mais qui ne sont pas encore passez a l'acte ("Car lors de sa dernière scéne je vais m'éclater les veines"). Il y est dit aussi que c'est a cause des autres gens que cela arrivera ("poussé par la bêtise humaine") parce que les gens jugent trop les autres sans les connaître et donc cela pousse certains a se suicider ("Seul chez moi, le seul endroit où l'on ne me juge pas"). La particularité de cette chanson est de faire "parler" le suicidaire ("Je fais les cents pas") a la première personne du singulier "j", et aussi les autres qui le voie ("La bête le ronge et petit à petit le plonge") cette fois ci a la troisième personne du singulier "il".
Le clip lui, reprend juste le titre de la chanson pour montrer les memebres d'Enhancer foutre le bordel partout où ils passent, comme des "cinglés".
La chanson peut aussi être interprété de cette manière :
Quelqu'un à tout perdu, même sa raison de vivre... (d'ou le dehors il fait gris) Et ou il s'enferme dans un être schysophrene et sadique, à la manière d'un serial killer, il est hanté par un démon, (de nombreux serial killer disaient entendre des voix qui les incitaient à tuer) par la mort des autres (Les génocides) et par la tristesse qu'il peut infliger (une flaque de sang suivi d'une vague de peine) C'est pas tellement une question de suicide mais de folie. comme jésus à pu être le sauveur, il se prend pour l'anthéchrist, (d'ou la référence à la dernière scène, qui est un jeu de mot "scène" et "cène"). et ses envies suicidaires ne sont qu'un moyen de se libérer de cette démence.
{Refrain : x2}
Cinglés, cinglés faut foutre le hola, sur la brèche
On est tous prêts à tirer dans le tas des
Cinglés, cinglés faut foutre le hola, sur la brèche
On est tous prêts à tirer dans le tas
J'me réveille pour une journée de plus qu'il ne sent pas dehors il fait gris enfermé seul,
Je fais les cents pas, seul chez lui, seul les gens il ne supporte pas,
Seul chez moi, le seul endroit où l'on ne me juge pas, il attend et
Attente un attentat à ses tentations diaboliquement dément
Un démon gére mes pulsions meurtrières il rêve de Lucifer et d'une orgie suicidaire
Lors de mes folies passagères brûlent en moi les flammes de l'enfer
Les flammes de l'enfer sur la brèche on est tous prêts a tirer dans le tas des
{Refrain}
La bête le ronge et petit à petit le plonge dans de sombres pensées dans le désir de m'y enfermer De plus en plus sur lui-même pour réaliser qu'en fait il n'y a plus personne que j'aime plus Personne à qui faire de la peine alors pourquoi rester zen car lors de sa dernière scéne je vais M'éclater les veines, poussé par la bêtise humaine pour une fin dans une flaque de sang suivie D'une vague de peine
{Refrain}
Je suis pas dans le cas du squale, se calquant sur Scarface qui nous palper du "scalpa"
Scalpe au scalpel, non pas dans le cas du types lambda constatant ça go "chécou" avec un sale con, la "tèje" par le balcon, je suis sur la bréche, armé du 666, le mal je prêche,
Agnostique mon âme, allume la mèche et bah, mes pulsions prennent le dessus.
Pas besoin de psy, je suis pas psycho j'ai l'esprit hanté, le coeur glacé comme un cône miko.
Vu que l'homicide est devenu ma libido, je suis atteint de désir, morbides, le jour je suis clean,
L'air placide, mais la nuit le regard vide,
J'organise un vrai génocide.
{Refrain, x2}
(x4)
Cinglés, cinglés
Tous prêts à tirer dans le tas
Vos commentaires
Bof j'trouve que l'explication est suffisante ... c'est pas bien dur a comprendre! Merci!
pour l'explication c'est pas tellement ça.
c'est plutôt quelqu'un qui à tout perdu, même sa raison de vivre... (d'ou le dehors il fait gris) Et ou il s'enferme dans un être schysophrene et sadique, à la manière d'un serial killer, il est hanté par un démon, (de nombreux serial killer disaient entendre des voix qui les incitaient à tuer) par la mort des autres (Les génocides) et par la tristesse qu'il peut infliger (une flaque de sang suivi d'une vague de peine) C'est pas tellement une question de suicide mais de folie. comme jésus à pu être le sauveur, il se prend pour l'anthéchrist, (d'ou la référence à la dernière scène, qui est un jeu de mot "scène" et "cène"). et ses envies suicidaires ne sont qu'un moyen de se libérer de cette démence. :-D
en espérant avoir aidé :-D :-D