Paroles de la chanson «Et Si Vieillir M'était Conté...» par Mylène Farmer

Et Si Vieillir M'était Conté... ()

Depuis son adoelscence, Mylène Farmer est une femme perturbé par le temps ("Plus Grandir", "L'Horloge", "Ainsi soit-je", "Nous souviendrons nous"), bien sûr, elle sait que son vieillissement est inéductable, et qu'elle devra bien mourir un jour, mais contrairement à avant son "anamorphosication", elle n'est plus hanté par les fantômes du passé et accepte de vieillir, bien que cela lui fasse toujours peur ("Avant que l'Ombre"). Elle parle "d'un pas vers la poussière" à la fin de la chanson, la poussière étant la mort :
"Quand a le temps a déposé
Son sourire familier
c'est un pas vers la poussière. "

Mylène, assez égocentrique ("L'Autre"), parle d'elle même comme une image inachevée que le temps va effacer. Son image sera terminée quant Mylène sera morte. (ma foi, elle a pas tort, nous évoluons de jour en jour).

C'est une chanson magnifique, comme une grande partie de l'album Innamoramento !
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