La Berceuse ()
☆ ; Mon Interprétation de "La Berceuse" :
Papa, maman
Je vous déteste
Vous avez agit
Comme deux pestes
Vous auriez pu vous retenir
Pour m'éviter de connaître le pire
Dès les premières lignes, Najoua s'adresse familérement à des parents, elle les surnomme tout naturellement Papa et Maman, puis, fait une comparaison de ces derniers, elle parle d'eux comme des "pestes", car ils ont fait connaître à Najoua, le "pire", on peut penser certainement à la vie.
Maman, papa
Avez vous honte
D'avoir donc commis
Là, cette faute
Vous êtes mes premiers bourreaux
Ricanant autour de mon berceau
Un peu dur comme passage, considérer ses propres parents comme son propre bourreau montre bien qu'ici Najoua fait dire qu'elle n'aurait vraiment pas aimé vivre (c'est Najoua Belyzel qui parle, pas Najoua Mazouri).
Voici la berceuse, qui résonne
Sans cesse dans ma tête creuse
Grâce à vous pardis
J'en veux à l'amour, j'en veux à la pluie
Je me sens maudire
Voici la berceuse, qui me saigne
L'envie
Le refrain, Najoua approfondit, elle dit en vouloir à l'amour, à la pluie. La "berceuse" la fait souffrir.
Papa, maman
Quelle faiblesse
Vous m'avez conçue
D'amour détresse
Et me voilà comme prisonnière
De ma chair et de mes pensées
Maintenant, elle explique pourquoi elle en veut tant à la vie. Elle a été conçue "d'amour détresse".
Maman, papa
J'faisais la fête
Vous poussant même jusque
A l'éprouvette
Mais vous n'avez donc rien compris
Je ne voulais pas goûter la vie
A priori, Najoua Belyzel est née biologiquement, un "bébé éprouvette", c'est la raison pour laquelle, elle en veut à ses parents.
[... ]
Papa, maman
Je vous déteste
Mais je vous aime
Deux sentiments distingués complétement différents. Najoua avoue aimer ses parents, car, tout le monde aime ses parents, c'est psychologique mais elle les déteste, car elle ne voulait pas goûter la vie.
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