C'est sûrement vrai, long le temps qu'il faudra
J'peux même t'assurer que je n'serai plus là
Pour le fredonner ou l'écrire
Que le meilleur peut chasser le pire
Et que l'intelligence revenue de très loin
Ils se regarderont dans les yeux
Comme jamais avant,
Oublieront de jouer avec le feu
Comme jamais avant
Et voudront sauver la terre avant que l'océan décide d'nous faire un tour
Là où vivaient ces banquises dont on parlait toujours
Y en a qui pensent qu'un jour tout va sauter
Qu'à nos jeux de hasard les dès pipés
Que bientôt finit l'aventure,
Bien trop profondes, nos blessures
Sauf que moi, j'y crois encore et j'te dis:
Ils se regarderont dans les yeux
Comme jamais avant,
Oublieront de jouer avec le feu
Comme jamais avant
Et voudront sauver la terre avant que l'océan décide d'nous faire un tour
Là où vivaient ces banquises dont on parlait toujours
Toujours préféré l'utopiste à celui qui prétend tout comprendre, tout savoir
C'est vrai que moi, je n'sais rien et je crois
Qu'on a le droit de rêver et de rire
Pas forcément en gris sombre, l'avenir
J'te rends tes déprimes, tes rengaines
Surtout, t'es foutu; plus la peine
Et je garde mes espoirs et te dis:
Qu'ils se regarderont dans les yeux
Comme jamais avant,
Oublieront de jouer avec le feu
Comme jamais avant
Et voudront sauver la terre avant que l'océan décide d'nous faire un tour
Là où vivaient ces banquises dont on parlait toujours
Toujours avant
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