Paroles de la chanson «Les Poings Dressés Des Prolétaires» par

Surgit du temps et les usines
En mille et mille et un ruisseau
Dans l'ombre immense de Lénine
Un monde neuf monte à l'assaut
La république des soviets
Soldat du peuple et partisans
Octobre 1917
Venge Varlin agonisant

(Refrain : )
Les poings dressés des prolétaires,
C'est la Commune qui combat
L'homme est en marche sur la Terre
C'est la Commune qui vaincra

Le rêve fou que d'âge en âge,
On remettait à Dieu ses camps
Dans les cités et les villages
Il gronde et bout vous comme un volcan
Une autre terre se dessine
Une autre chair est enfantée
C'est le bonheur qui prend racine
Et qui devient réalité

(Refrain)

De Prague en fête jusqu'en Chine
Et bien plus tôt qu'ils ne croyaient
La force immense des machines
Sonne le glas des Versaillais
800 millions c'est quelque chose
800 millions de fois vingt ans
Voici venir le temps des roses
Du bon pain tendre et du printemps

(Refrain)

Staline aux cœurs des camarades
Met la victoire entre nos mains
Paris vengé à Stalingrad
Paris sera libre demain
Quel cris de gloire à tout cloche
Qui carillonne du kremlin
C'est pour porter de proche en proche
Le drapeau rouge sur Berlin

(Refrain)

Le grand parti de la mer noire
De Juin 36 et du maquis
C'est l'héritier des communards
Du vieux Babeuf et de Blanqui
C'est le bras ferme de Maurice
Qu'il a forgé pour nous français
Le fier parti de la justice
De la vie libre et de la paix

(Refrain)