C’ était une vieille écuyère,
sur un trés vieux cheval
qui dansait de plus en plus mal.
elle rêvait d’avant les guerres,
qu’on appelait mondiales
D’sa mère, d’son école communale
de ses journées tranquilles,
passées sur un fil,
comme un oiseau fragile,
mais sans peur.
elle voulait pauvre folle,
transformer son école,
en chapiteau pour son bonheur.
Danse, danse,
comme tu sais le faire,
il n’y a plus rien d’autre à faire
danse, danse lance tes jambes en l’air,
jusqu’à c’que tu tombes en arrière.
que ton cheval hésite, que la chance te quitte
qu’on te ramasse à la cuillère.
elle rencontra l’âme soeur
Dans un cirque ambulant,
le dompteur devint son amant.
ils eurent un enfant prodige,
un pauvre chien savant,
qui comptait les balles en dansant.
mais un soir, un lancer d’poignards
fit mourir le p’tit chien savant.
l’même soir par un curieux hasard,
le dompteur eut un accident.
Danse, danse,
comme tu sais le faire,
il n’y a plus rien d’autre à faire
danse, danse lance tes jambes en l’air,
jusqu’à c’que tu tombes en arrière.
que ton cheval hésite, que la chance te quitte
qu’on te ramasse à la cuillère
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