Je plains toujours ce pauvre Adam
Qui nâa jamais eu de maman
Il nâa pas Ă©tĂ© prĂ©venu
Il prit la premiĂšre femme nue venue
Sâil en avait eu une
Il nâaurait pas pris non plus
Cette pomme car au bord de son lit
Le soir elle lui aurait chanté
Doudou dou dou dou doudou
Car tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Le cĆur dâAttila Ă©tait noir
Sâil mit le feu partout
Câest quâil nâa pas eu de bavoir
Ni de petite culotte en caoutchouc
Sa maman toujours en selle
Sur un quelconque animal
A dû lui donner la tété à cheval
Et ne lui a jamais chanté
Doudou dou dou dou doudou
Et tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
La mĂšre du petit Barbe-Bleue
NâĂ©tait quâune barbare
Elle enfermait son enfant peureux
Tout seul en barboteuse dans un placard
Si plus tard il sâest vengĂ©
Des femmes, il faut que lâon sache
Quâil nâĂ©tait au fond quâun vieux bĂ©bĂ© Ă moustaches
A qui lâon nâavait pas chantĂ©
Doudou dou dou dou doudou
Et tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Vous qui avez eu des layettes
Et de jolis berceaux
Nâoubliez surtout pas leurs fĂȘtes
Cédez-leur votre place dans le métro
Soignez-vous, mariez-vous
Ecrivez-leur souvent
Et faites pour vos mamans de beaux petits enfants
Afin quâelles puissent leur chanter
Doudou dou dou dou doudou
Car tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Tout petit bébé
A besoin dâune maman
Pour lâaimer
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment