My name is Alister Vale, I am immortal
Mon nom est Alister Vale, je suis immortel
Centuries ago, I tried to do the right thing
Il y a des siècles, je pensais avoir bien agi
But I was deceived and cursed
Mais je fus trahi et maudit
Now I have to wander the earth forevermore
Ainsi, j'ai du vagabonder sur Terre pour l'éternité
I can't stay and I can't find rest
Je ne pouvais pas du tout trouver le repos
And all that I leave behind will decay and perish
Et tout ce que je laissais derrière moi se détruisait et mourrait
But I might have found a solution
Mais j'ai peut-être trouvé une solution
An immemorial nameless order
Un immémorial ordre sans nom
In ancient lore commonly referred to as Orden Ogan, or
Mais dans l'ancien folklore il est appelé Orden Ogan, ou
The Order of Fear
L'Ordre de la Peur
__________
Au sujet de l'album, Seeb (fondateur et compositeur du groupe) précise :
"(Sur cet album) l'histoire d'Alister Vale, que nous avons commencé à raconter sur l'album 'Vale' en 2008, y atteint une sorte de conclusion. Pour rappel, Vale est un être immortel qui a été condamné à arpenter la Terre sans jamais pouvoir prendre de repos. Où qu'il aille, tout fane et meurt sous ses pas. Un jour, il entend parler d'un Ordre très ancien - l'Ordre de la Peur - qui serait en mesure de briser la malédiction qui le poursuit. D'après ces étranges moines, il suffirait qu'Alister commette un acte plus innommable encore que celui qui lui a valu d'être originellement maudit pour pouvoir trouver la paix. Après une période d'hésitation, le héros finit donc par exécuter son seul ami, en se disant que ce crime est un sacrifice nécessaire pour épargner des milliers d'autres vies. Hélas, il réalise après coup qu'il a été dupé et que les effets de la malédiction sont encore plus dévastateurs qu'autrefois. L'Ordre est, en réalité, composé d'adorateurs d'une divinité maléfique qui aspire à utiliser les pouvoirs de Vale pour annihiler l'humanité toute entière ! Voilà où nous en sommes lorsque cet album se termine..."
Source : Magazine 'Rock Hard" n° 255
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment