Jâai bien connu le gars qui rencontra la fille
Jâai bien connu la fille qui souriait au gars.
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Et elle a tout donne
Le fil et les aiguilles
Et puis son cĆur de fille
Par-dessus le marché
Câest toujours la mĂȘme histoire
Jâose Ă peine vous en parler
Moi jâai fait semblant dây croire
Faites semblant de me conter
Alors jâai vu la fille, inventer des dimanches,
Pour y danser lâamour au bras de son amant.
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Si lâamour Ă©tait pur, si la vie Ă©tait franche
Ils auraient pu sâaimer jusquâau bout du longtemps.
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Il a dâabord menti
Sans quâelle veuille comprendre
Mais elle a voulu se pendre
Le jour quâil est parti
Câest toujours la mĂȘme histoire
Jâose Ă peine vous en parler
Moi jâai fait semblant dây croire
Faites semblant de me conter
Jâai bien connu le gars qui a quittĂ© la fille
Jâai bien connu la fille qui pleurait pour le gars
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Elle a pleuré longtemps et de fil en aiguille
Ses larmes vieillissaient mais ne guérissaient pas
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Son cĆur avait pris froid
Câest plus grave quâon ne suppose
Moi jâen sais quelque chose
La fille, câĂ©tait moi.
Câest toujours la mĂȘme histoire
Jâose Ă peine vous en parler
Moi jâai fait semblant dây croire
Faites semblant de me conter
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