Aïe, aïe, ce que tu peux être crédule
de ces gens malhonnêtes
qui te promettent la lune,
leur laissant ton pouvoir
pour qu'ils te manipulent,
ta précieuse liberté
et parfois même tes tunes.
C'est fou, tu te crois à l'abri
tu te moques du monde
que tu juges avec mépris.
Bien trop intelligent
pour, dans ce piège être pris
tu te voiles bien la face
et se joue ce qui suit
Aveuglé par l'or sortant de sa bouche,
tu bois ses paroles délicieusement à la louche
ne vois−tu pas loucher ce fou qui t'éclabousse
de son air aguicheur et te conte sa soupe
Hé sale fripon, prends garde à ta langue
je suis le chat qui te la mangera
à ce jeu−là tu n'y gagneras pas
un jour ou l'autre, on récolte le bâton
Nan, nan ne tombe pas dans le piège
de cet énergumène et de ses sortilèges
à trop vouloir entendre ce qui te fait plaisir
il t'aura bien flatté l'ego
mais s'apprête à te nuire
Hum, hum mais regarde le glousser
il tâte le terrain, divise pour mieux régner
dans son habit de prêtre
il clame le vrai dessein,
te contrôle par tes peurs
tu deviendras son chien
Aveuglé par l'or sortant de sa bouche,
tu bois ses paroles délicieusement à la louche
ne vois−tu pas loucher ce fou qui t'éclabousse
de son air aguicheur et te conte sa soupe
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