Mon destin, je l'ai choisi
Mon histoire s'Ă©crit ici puisque les drames
Sont histoires de femmes
Et que ça vous libÚre de me faire taire
Me réduire en cendres pour ne pas qu'on m'entende
Seule, j'avance vers le bûcher
Mes mains ne cessent de trembler
La tĂȘte haute, refuser la faute
Je regarde les cieux, je ne ferme pas les yeux
Je redeviens poussiĂšre
Cochons, c'est vous, l'enfer
Regardez-moi, Ă©coutez-moi
J'entends des voix qui guident mes pas
Regardez-moi, Ă©coutez-moi
Puisque c'est ma voix, d'une vie à trépas
Jamais je ne capitule
Et mĂȘme si je rends les armes
C'est mon cĆur qui brĂ»le, ce n'est pas mon Ăąme
Je n'crains pas les hommes, mĂȘme pas la guerre
C'est dans la priĂšre que mon cĆur vous pardonne
Regardez-moi, Ă©coutez-moi
J'entends des voix qui guident mes pas
Regardez-moi, Ă©coutez-moi
Puisque c'est ma voix, d'une vie à trépas
Ah-ah, ah-ah
Regardez-moi, Ă©coutez-moi
Puisque c'est ma voix, d'une vie à trépas
Puisque c'est ma voix, d'une vie à trépas
La gloire humaine est peu de choses
Elle s'Ă©vanouit comme fanent les roses
Sous des brillants lauriers
Mes ennemis ont creusé mon tombeau
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