Si le manque est réciproque, je te plains. (Si le manque est réciproque)
Jâvoulais rĂ©parer tes ailes, te prendre la main : nous noyer dans le ciel.
Laisser lâhumain moisir dans son bain de fiel, tâemmener saluer le bien.
Ma belle demoiselle, jâai pas compris si tâaimes que jâte console ou jâte flagelle,
Dans les deux cas, ma reine câest des tĂ©moins que vient la gĂȘne.
Partout câĂ©tait la mĂȘme : des yeux sournois braquĂ©s sur nous.
Jâme voyais les crever, comme si jâĂ©tais devenu fou, dâelle.
TâĂ©tais vraiment trop bien Ă©duquĂ©e :
MĂȘme quand tâĂ©tais dĂ©nudĂ©e, plus solennelle quâun dĂ©putĂ©.
Et dans mon sommeil quand nous dĂ©butait, tâessayais dĂ©jĂ de me dĂ©gouter.
Loin du soleil tes envies dâcĂąlin, dâun grognement je te dĂ©boutais.
Tous ceux qui parlent mal de toi, mĂȘme si je nâsuis plus lĂ ,
Jâles tabasserai un par un en mode Caligula.
Souviens-toi p'tit chat, je serai toujours lĂ pour toi.
Loup manipulateur, doublĂ© dâun dĂ©vouĂ© mĂ©nestrel
Dont le je tâaime est Ă©ternel, en amour chĂ©ri les extrĂȘmes.
Te survivre jâessaie, nan y a pas quâmes gĂȘnes que jâessaime.
On lâa constatĂ© cent fois, câest dingue on est les mĂȘmes.
On a rĂ©pĂ©tĂ© les scĂšnes au point dâen rester sans voix.
Jâai visitĂ© ton cachot, tâai fait goĂ»ter mon chaos :
Mi tortionnaire mi maso, quand jâdonnais lâassaut tu capitulais.
Ouais tu mâas mis des ko, tâas fait du loup un cabot.
Ma fiertĂ© sur un plateau, je mâhabituais.
Avec toi au cou, Dieu que jâĂ©tais beau !
Et si on sâaimait beaucoup, cânâĂ©tait quâune Ă©bauche.
Le temps suspendu, libĂ©rĂ©s du destin je nous ai vus habillĂ©s dâun anneau.
Jâen ai tapĂ© des kilomĂštres,
Pour mâfaire traiter comme de la merde.
Devant lâĂ©cran je dois lâadmettre,
Jâarrive Ă mâdire quâjâai eu dâla veine
Car tâes une tueuse exceptionnelle, les coups dâcouteau jârĂ©ceptionnais.
Dangereux phénomÚne, que moi seul pouvait résonner.
Tu mâĂ©coutais car je nâmens pas, depuis bien trop vite le temps passe.
Parfois les yeux fermĂ©s jârevois nos lĂšvres qui sâenlacent.
Ăcoute ce mytho plein dâemphase : ta cruautĂ© jâmâen passe, pĂ©tasse !
Jâenfourche PĂ©gase, mâarrache plein gaz.
DĂ©ploie ses ailes et te dĂ©passe, me fous quâen bas nos rĂȘves sâĂ©crasent.
Jâai visitĂ© ton cachot, tâai fait goĂ»ter mon chaos :
Mi tortionnaire mi maso, quand jâdonnais lâassaut tu capitulais.
Ouais tu mâas mis des ko, tâas fait du loup un cabot.
Ma fiertĂ© sur un plateau, je mâhabituais.
Avec toi au cou, Dieu que jâĂ©tais beau !
Et si on sâaimait beaucoup, cânâĂ©tait quâune Ă©bauche.
Le temps suspendu, libĂ©rĂ©s du destin je nous ai vus habillĂ©s dâun anneau.
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