La rue, câest pas BFM, pĂ©dale !
La rue câest pas BFM, BFM, dans lâquartier tout lâmonde sait que je vote FN.
Tâes insoumis, jâmâen bats les boules.
Comme dâhabâ tâes avec tes potes en train dâharanguer la foule.
On sâcroise et aujourdâhui tu tâcrois permis de mâtraiter dâfacho ?
Cela devant ma fille, jâvais vite me fĂącher !
Fils de putain ! Tâas oubliĂ© quâtu pesais 35 kilos ?
FrĂšre, es-tu suicidaire ?
Tu tâimagines face Ă Hitler, et lĂ tu mâbraques avec ton stylo.
Ton destin est scellé, tes camarades ne pourront rien y faire.
Jâcommence par une balayette, tu vacilles mais restes debout.
Y a deux secondes tu faisais le fou, tâauras pour salaire une droite dans la pommette !
Et lĂ chapeau, pour ĂȘtre honnĂȘte, dâavoir assumĂ© le coup.
Jâboucane du gauche Ă lâhuile de coude
Tendez-moi un dodu tonfa.
Et chui perdu dans sâfoutu Donbass.
JâdĂ©barque seul ou avec mes comparses, Jârepars au cul dâla blondasse.
Jâviens dĂ©bloquer la dĂ©mocratie : ouvrir grand sa gueule câest trop facile.
Jâsuis comme Usul sans blennorragie.
Jâviens rĂ©guler la dĂ©mographie
Jâviens dĂ©bloquer la dĂ©mocratie : ouvrir grand sa gueule câest trop facile.
Non, non, jâsuis comme Usul sans blennorragie.
LâdĂ©bat finit en hĂ©morragie !
Laryen : Jâme rĂ©veille, milieu de la nuit, au son dâun « boum, boum » dĂ©gueulasse
Genre Ă©lectro hardcore, dans ma campagne jâme demande ce qui se passe
Un tas de teufeurs dans la crasse tapent du pied depuis maintenant des heures
Jâprends ma caisse et pars Ă la rencontre de ces ignobles squatteurs !
Sont défoncés ces punks à chiens, le dialogue est impossible.
Les yeux rĂ©vulsĂ©s par la came, ils sâĂ©touffent presque dans leur vomi !
La raison a quittĂ© ces hommes, lâambiance autour est malĂ©fiqueâŠ
Protégés par les flics : « On peut rien faire Monsieur, ce sont les ordres. ».
Ok, dâaccord. Alors on sâen chargera nous-mĂȘmes.
Jâpasse un coup de bigot Ă lâĂ©quipe, faut balayer ces sous-merdes !
Et câest parti, voiture bĂ©lier, on dĂ©monte la sono
Et on nettoie ce tas de clodos Ă coup dâĂ©normes sots dâeau.
Câest un carnage, sauve-qui-peut, coups de bĂątons dans les tibias.
La teuf prend fin, la prochaine fois on attaque la fĂȘte de lâHuma !
Je supporte plus tout ces gauchistes, ils sont protĂ©gĂ©s par lâEtat.
Faut expliquer à ces débiles comment on pense, à coups de tonfa !
Tendez-moi un dodu tonfa.
Et chui perdu dans sâfoutu Donbass.
JâdĂ©barque seul ou avec mes comparses, Jârepars au cul dâla blondasse.
Jâviens dĂ©bloquer la dĂ©mocratie : ouvrir grand sa gueule câest trop facile.
Jâsuis comme Usul sans blennorragie.
Jâviens rĂ©guler la dĂ©mographie
Jâviens dĂ©bloquer la dĂ©mocratie : ouvrir grand sa gueule câest trop facile.
Non, non, jâsuis comme Usul sans blennorragie.
LâdĂ©bat finit en hĂ©morragie !
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