On cogite pour tous vous Ă©liminer, vous ne valez pas mieux que des parasites.
Lâexpropriation promulguĂ©e, ton coin il faudra que tu dĂ©barrasses vite.
Au loin mes gars sâagitent, ferme ta gueule y âa plus de dĂ©bat ça gicle,
Autour de moi câest la panique, ne subsisteront que mes fanatiques.
A la fin jâai beau rĂ©pĂ©ter tu ne comprends pas :
Les dĂ©biles ici on sâen passe.
On tâfait partouzer des tas de charogne qui sâentassent.
Coule dans le caniveau,
Le sang boueux de ces animaux.
Supplie-moi car tu nâas pas le niveau :
Jâai le qi de trois nigauds,
Pour dĂ©caper tous les cerveaux quâtâencrasse.
Ils sont comme des démons qui nous manipulent,
Traités en étrangers sur nos propres terres.
Se soulever fait partie de nos habitudes :
Il nây a que la mort qui peut nous faire taire.
De mon chemin tu devrais tâĂ©carter,
Je vois des meutes de sous-hommes Ă lâair Ă©patĂ©.
RescapĂ©, a sonnĂ© lâheure de te dĂ©boiter :
Je vais me régaler et mes chiens boufferont tes yeux.
On est pĂąle mais pas clair
Super victime, comme en 40 prĂȘts pour la guerre Ă©clair.
A coup de schlass trace car ouverte la chasse.
Nos patrouilles passent par lĂ oĂč nos chiens flairent ta chiasse !
Me ne frego si tu finis dans lâfrigo
Entre le rĂŽti de porc et la tomme dâaligot.
UnitĂ© Ă tĂȘte de mort, on va manger vos corps
Ronger vos os et les ranger dans des fosses comme des LEGO.
Ils sont comme des démons qui nous manipulent,
Traités en étrangers sur nos propres terres.
Se soulever fait partie de nos habitudes :
Il nây a que la mort qui peut nous faire taire.
De mon chemin tu devrais tâĂ©carter,
Je vois des meutes de sous-hommes Ă lâair Ă©patĂ©.
RescapĂ©, a sonnĂ© lâheure de te dĂ©boiter :
Je vais me régaler et mes chiens boufferont tes yeux.
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