Je vois des tas de zombies partout
ParaĂźt quâils sont Charlie , ce qui est sĂ»r
Câest que ces pĂ©dĂ©s sont tous des babtous
Regard vide, ils louent dame diversité
CÎtoyant cette sale pute que via leur dealer de cité
En groupe jouent les excités
Comme la racaille quâils adulent
Chaque barette leur fait mériter
La qualité de boloss dont les wesh les affublent
Et quand ces pantins saturent
Ils sâinclinent devant leur tĂ©lĂ©
Soumis Ă sa dictature
Ils se laissent hanouniser
Pas de cerveau je sais pas oĂč viser
Ouais les français sont des veaux
Un canapé faisant office de pùture
BFMTV leur sert de clĂŽture
Sur ma liste dâamis y a plus que des ratures
Ouais⊠Dans le miroir mon gars seul sur
Pose toi des questions si mes dires te clashent
Vu que jâai jouĂ© mon destin sur un pile ou face
HĂ©doniste de merde te fait sourire le cash
Mais tâes bien trop poli chien en guise de pion dans ce grand Monopoly
Vu quâon est pas des fils de putes on vient pas niquer des mĂšres
Golem satanique de merde
Mais ferme ta gueule Golem satanique de merde
Mais ferme ta gueule, ferme ta gueule
Ă lâinstar de Daesh, je viens mettre du plomb dans la tĂȘte, des bobos
Vendetta des prolos
Je prends le risque de finir clodo
Pas de me faire fumer en plein pogo
Ă cheval sur ma moto, jâapprends Ă charger mon arbalĂšte
Je suis un peu comme Amalek, y a mĂȘme pas la mort qui mâarrĂȘte
Ă Paris checke tes arriĂšres, car dans la rue y a que des tapettes
Et des blédards qui veulent te la mettre
Moi Ă la guerre je mâapprĂȘte
Y a que des victimes pour faire la quĂȘte
Ăa a commencĂ© par des vols, la vente de drogue
Aujourdâhui câest Kalash, demain des bombes dans les Ă©coles
Soldats plantés devant les synagogues, mais pas les maternelles
Jâirai tĂ©moigner au procĂšs du CRIF devant lâĂ©ternel
Ces bouffons sâĂ©merveillent devant lâanti-racisme
Sans voir que câest dans la haine du blanc quâil enfouit ses racines
Le progrĂšs les fascine, atteindrons nous la cime
Dâun sommet qui vacille, pour Dalcim câest facile
Mais moi jâai pas le bras long
Chacun des vers que jâĂ©cris, dâun simple clic peut me faire mettre au ballon
Câest plutĂŽt dur Ă dire
Mais la rĂ©volution des cons nâa aucun avenir
Depuis Facebook ces sacs Ă merde aspirent
Ă une satiĂ©tĂ©, dâindignation sans aucun espoir
Quand jây traĂźne le soir, quelle est cette odeur que jây respire ?
Une feinte insoumission de vils pauseurs sans honneur ni gloire
Je rappe la réalité, ils rappent leur vénalité
Je viens libérer leur public, et ça les fait paniquer
Faut quâils se fassent Ă lâidĂ©e, les gros fachos avinĂ©s
Oublient de se montrer pudiques, dans leurs grands dĂ©bats dâidĂ©es
Ils nâont pas rĂ©alisĂ©, on vient pour dĂ©valiser
Les ors de la République les laissant tétanisés
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