Trop blancos pour le rap, trop hip hop pour les desouches
Un extrémiste pour les sages qui devant big brother se couchent
Jâenchaine pas les punchlines moi, jâdĂ©bite mes rĂ©cits en vers
On appel ça dâla poĂ©sie, tu crois quâles porcs hĂ©sitent ?
Non ils Ă©talent leur merde,
Puis qualifient ça dâart, Ă©tiquetez moi remĂšde
FatiguĂ© de cette mer de mĂ©diocritĂ©, jâpagaye avec les anges
On galĂšre Ă contre sens mais jâai pas dâautre idĂ©e
Franchement, quâest ce quâon peut y faire ?
DĂ©jĂ bannir cette question qui nous sert de somnifĂšre
Pour commencer, se relever, Ćuvrer pour nos pĂšres
Nos mĂšres, nos enfants, bref tous ceux qui nous sont chers
Cher, est le prix à payer, éloignés des lumiÚres,
Continuant dâhurler notre amour mĂȘme quand a plus dâair
Parfois vulgaire, la rage est un bon carburant
Aucun respect pour le rap, cet art puant
Un adjuvant sâappelant WeeDazz, vient me voir en disant :
âKroc Blanc, câest pas si naze !â
De la musique plein les poches, jâĂ©coute câest dâla bonne
Les mois passent : voici notre album.
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