Le vent vient de la mer
La vague suit son cours...
Une femme aux yeux verts
A rit de mes amours
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Les jours s'en vont pareils
Et je n'ai sur le dos qu'un peu de soleil
Qui m'a cuivré la peau
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Le temps use la vie, le temps use l'amourLe vent vient de la mer
La vague suit son cours...
Une femme aux yeux verts
A rit de mes amours
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Les jours s'en vont pareils
Et je n'ai sur le dos qu'un peu de soleil
Qui m'a cuivré la peau
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Le temps use la vie, le temps use l'amour
Il n'est jamais de retour
Et si je n'emporte rien dans mes mains
C'est qu'au dernier matin
Je m'en irais nu, comme je suis venu
Combien j'ai vu de villes qui mènent à des faubourgs
À des gens si dociles qu'ils travaillent toujours...
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Emporte le coton, emporte le blé
Quand revient la saison, il faut recommencer
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
De voyager
Il n'est jamais de retour
Et si je n'emporte rien dans mes mains
C'est qu'au dernier matin
Je m'en irais nu, comme je suis venu
Combien j'ai vu de villes qui mènent à des faubourgs
À des gens si dociles qu'ils travaillent toujours...
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
Emporte le coton, emporte le blé
Quand revient la saison, il faut recommencer
Et mes souliers jamais ne finiront de voyager
De voyager
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