C'est comme si je marchais sur tes pas
Parfois le temps arrête les images
Comme si tout dessinait ton visage
Comme si la Terre n'était pas si vaste
C'est comme si je marchais sur tes pas
Parfois le temps arrête les images
Comme si tout dessinait ton visage
Comme si la Terre n'était pas si vaste
Me demande pas pourquoi j'ai pas les mots
J'voulais tourner la page, tout tombe à l'eau
Figé, car le courant m'entraine, me libérer de ma peine
Évidemment j'ai essayé, fermer les yeux et m'évader
Tu vis dans toutes mes pensées
J'ai peur qu'tu sois mon pire ennemi
Je fuyerai s'il le faut, tant pis
J'ai peur quand vient la nuit depuis
Là pour moi, c'en est trop, c'est fini
C'est comme si je marchais sur tes pas
Parfois le temps arrête les images
Comme si tout dessinait ton visage
Comme si la Terre n'était pas si vaste
C'est comme si je marchais sur tes pas
Parfois le temps arrête les images
Comme si tout dessinait ton visage
Comme si la Terre n'était pas si vaste
Alors dis-moi c'qu'on va devenir
Nous et tous nos états d'âme, un peu d'argent pour réunir
Beaucoup d'argent pour désunir
Alors pourvu qu'on s'aime, plus de mise en scène
Le temps qu'on le comprenne
J'ai peur qu'tu sois mon pire ennemi
Je fuirai s'il le faut, tant pis
J'ai peur quand vient la nuit depuis
Là pour moi, c'en est trop, c'est fini
C'est comme si je marchais sur tes pas (je marchais sur tes pas)
Parfois le temps arrête les images (arrête les images)
Comme si tout dessinait ton visage (ton visage à toi)
Comme si la Terre n'était pas si vaste
C'est comme si je marchais sur tes pas
Parfois le temps arrête les images
Comme si tout dessinait ton visage
Comme si la Terre n'était pas si vaste
Je marchais sur tes pas
Arrête les images
Ton visage à toi
Ton visage à toi
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