Rien n'est facile tout va trop vite,
On se recherche dans les magazines
On ne respire que de l'aspirine
Et on nous gonfle les pyramides
Dans les bistrots, sur les écrans, les machines
Les grands boulevards, les p’tits salons qui dépriment
On nous adore, on nous assassine,
On est acroc de vos vitamines,
Rêver faut bien rêver dans nos cuisines,
On est les surdoués d’la routine
Dans les bistrots, sur les écrans, les machines
Les grands boulevards, les p’tits salons qui dépriment
On nous imagine... on nous imagine... ... on nous imagine... Comme des Marylin
Comme des Marylin
Alors, on nous maquille, on nous démaquille
Décors, décolorées, féminines
Accent accentué, impératif, le prix de la beauté, un suicide.
Dans les bistrots, sur les écrans, les machines
Les grands boulevards, les petits salons qui dépriment
On nous imagine... on nous imagine... on nous imagine... Comme des Marylin.
Comme des Marylin
Comme des Marylin
Comme des Marylin
Comme des Marylin
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