Aurélia
Au sud de tes seins
Au nord de tes épaules
Aurélia
Si près de ton hymen
Que je m’y sens si drôle
Le rêve agrafe mon corps
Aux rayons de tes fibres
Qui ne sont pas un astre
Mais tout un firmament
Aurélia
À tes pieds de rivière
Je m’abreuve doucement
Aurélia
D’orchidées en rizières
Je navigue en ton sang
Ta nuit
Dirige mon âme
À frôler ton échine, à frôler ton échine
Qui reste la seule route
Atteignant l’éternel, atteignant l’éternel
Aurélia
Au sud de tes seins
Au nord de tes épaules
Aurélia
Si près de ton hymen
Que je m’y sens si drôle
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