Paroles de la chanson «Ça L'fait» par Eddy Mitchell

Ça l’fait, ça fait mal
quand tu te la joues vamp, femme fatale.

Oh, ça l’fait, ça fait mal
Lorsque tu as décidé de castrer un mâle.

T’es comme une mante religieuse,
tu prends ton plaisir et puis tu te changes en tueuse.

Ça l’fait, c’est pas virtuel
t’y peux rien, c’est en toi, tout ça c’est naturel.

Ça l’fait.
Ça l’fait.

Les lions, ça joue les rois.
C’est les lionnes qui chassent, qui tuent, préparent les repas.
Les hommes, ça se prend pour quoi ?
Ça travaillent un peu et ça roule autant que ça boit.
Si l’avenir de l’homme, c’est la femme,
l’homme est le présent du singe: moi Tarzan, toi Jane.
Même job, salaire égal,
paradis pour tous, soyons fou, vive la sociale !

Ça l’fait.
Ça l’fait.

Les animaux vont tous boire au même point d’eau,
sans distinction d’espèce, léopard ou moineau.
Ils observent une trêve, une mi-temps de repos de répit.
Entre l’homme et la femme, ça n’est jamais fini.

Ça l’fait, ça fait mal
quand tu te la joues mâle dur et implacable.

Oh, ça l’fait, ça fait mal.
tu te prends pour un justicier, seigneur féodal.
Ça l’fait, ça fait mal
quand l’homme et la femme jouent au duo infernal.

Ça l’fait, ça fait mal
quand tu te la joues vamp, femme fatale.

Ça l’fait, ça fait mal.