Je ne sais pas de quoi je parle,
Je suis trĂšs loin d'imaginer,
Ce que veut dire le dernier rĂąle,
Ne me sentant pas trop concerné,
Par les derniers instants de la vie,
Quand il faudra quitter ce monde,
Et quitte Ă avoir un avis,
Pour vivre les derniĂšres secondes,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
Finir dans l'herbe sur le dos,
Dernier soupir les pieds dans l'eau,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
PrĂšs d'un pâtit chalet dans les bois,
Sur un bout de terrain québécois,
Je ne peux pas me rappeler,
Ni m'appuyer sur du vécu,
Si ça m'était déjà arrivé,
Je pense que je m'en serais souvânu,
Entre les trente-six mille façons,
Ou bien les mille et une maniĂšres,
Et quitte Ă trouver le temps long,
Comme la premiĂšre fois est la derniĂšre,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
Finir dans l'herbe sur le dos,
Dernier soupir les pieds dans l'eau,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
PrĂšs d'un pâtit chalet dans les bois,
Sur un bout de terrain québécois,
La belle province c'est personnel,
Le « Tabarnak » mĂȘme sans l'accent,
Au moins ça fait pas trop solennel,
Et ça sâ dit bien en expirant,
Comme je nâ sais pas de quoi de cause,
Si je nâ connais rien du sujet,
Et quitte Ă voir la mort en rose,
Avant quâ ce soit pour plus jamais,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
Finir dans l'herbe sur le dos,
Dernier soupir les pieds dans l'eau,
J' voudrais mourir au bord d'un lac,
Partir dans un beau « Tabarnak »,
PrĂšs d'un pâtit chalet dans les bois,
Sur un bout de terrain québécois.
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