Ne me demande pas si j'y crois encore.
Tu sais, de toute façon, à chaque remord,
Il faut que j'oublie.
Je crois que si tu veux ĂȘtre honnĂȘte avec moi,
En quelques secondes, tu balances tout ça.
C'est comme ça la vie.
C'est pas pour rien si je suis venue.
J'avais besoin de tes bras tendus.
Rien ne me raisonne :
Je suis une autre personne,
D'une autre Ă©poque
Qui sonne Ă ta porte,
D'un autre pays.
Ah mais lequel des deux mondes a vraiment la réponse ?
Qui des deux le plus fort et qui va jeter un sort,
Un nouveau défi ?
C'est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
J'avais peur que tout s'efface
Et que ton cĆur me lĂąche.
Je viens d'un endroit
Pas loin d'ici
OĂč on entend pas
MĂȘme si on crie.
J'pourrais ĂȘtre rĂ©elle,
J'suis sans abri.
Le jour se lĂšve
Malgré la nuit.
Tu m'as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cĆur.
J'ai vu dans tes mains
Les lignes du destin.
J'ai vu que ton cĆur
Souffre en douceur
La ligne de sa vie.
Ah mais quand les vents tournent en dedans, au dehors
Que tout tourne Ă l'envers,
Les paradis c'est l'Enfer,
Je n'suis plus d'ici
C'est pas vraiment le but.
Tant pis, tant pis...
Mais j'avais peur que tout s'efface
Et que ton cĆur me lĂąche.
Je viens d'un endroit
Pas loin d'ici
OĂč on entend pas
MĂȘme si on crie.
J'pourrais ĂȘtre rĂ©elle,
J'suis sans abri.
Le jour se lĂšve
Malgré la nuit.
Tu m'as laissé ton ombre.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cĆur.
Une trace au fond de ce monde,
Au fond de mon cĆur.
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