Étranger à ce drame confus dont déjà on n’ peut plus rien connaître,
À ce passé tout proche auquel les ruses du langage et les suggestions de la pudeur,
De la vanité ou de la peur donnent son visage indéchiffrable.
Je me tais,
Malveillant et irrité.
Je me sens oublié comme un mort à son enterr’ment.
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