On lit pour lire.
Pour sâengourdir,
Se défaire et se perdre.
Se vider de soi.
Sâabandonner au sortilĂšge monotone des signes.
Ă la puissance des signes qui cheminent,
Noir sur blanc,
Inépuisables foules naines parmi des plaines renaissantes,
Interminable petite pluie noire,
Battâment noir des secondes dans le vide du temps.
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