Quand tes cris
Viennent embraser
L’absence de bruit
D’ardentes nuées,
Le soleil noir
Des relations
Exulte son art
A plein poumons.
Ta sueur se change en or
Au cœur de la petite mort
Quand les sillons
Sur ta peau pâle
Fleurissent au son
De milles pétales,
Et la couleur
De nos draps blancs
Avec les heures
Rehausse ton chant.
Tes pleurs se changent en or
Au cœur de la petite mort
Dans la contrainte
Les baisers mordent,
La Lune se teinte
Tes mains se tordent ,
Fleuves alezans
Au creux du puits,
Le sentiment
Du corps conquis.
Ton sang se change en or
Au cœur de la petite mort.
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