Jâaimerais mâamuser, mais ce nâest jamais facile,
Quand mon cĆur de crocodile sâen meÌle.
Jâai deÌjaÌ essayeÌ de le cacher dans la foreÌt,
De ne lâemmener quâaÌ moitieÌ⊠Ça marche pas.
Je pars au quart de tour,
Peut-eÌtre meÌme au huitieÌme,
Mais tous ces feux que je bruÌle,
Câest mon petit poeÌme.
Et toi qui es toujours laÌ,
Dis-moi comment ça va ?
Prends-moi la main, donne-moi la tienne,
La vie, c'est mieux quand on est deux,
Ou plus aÌ avoir le meÌme probleÌme.
SeÌche-toi un peu les yeux, pleure encore si tu veux,
Quâon lâaime ou pas, câest la seule vie quâon vivra.
Quand je suis au milieu, quâon me regarde comme au cineÌ,
Yâa ma voix et la foreÌt qui tremblent.
Parfois ça me fait si peur, que jâarrive plus aÌ parler,
Et parfois ça me fait crier. Câest comme ça.
Je pars au quart de tour,
Peut-eÌtre meÌme au huitieÌme,
Mais tous ces feux que je bruÌle,
Câest mon petit poeÌme.
Et toi qui es toujours laÌ,
Dis-moi comment ça va ?
Prends-moi la main, donne-moi la tienne,
La vie, c'est mieux quand on est deux,
Ou plus aÌ avoir le meÌme probleÌme.
SeÌche-toi un peu les yeux, pleure encore si tu veux,
Quâon lâaime ou pas, c'est la seule vie quâon vivra.
Quâon lâaime ou pas, câest la seule vie quâon aura.
Et quâon lâaime ou pas, cette vie passera.
Jâaimerais mâamuser, mais ce nâest jamais facile,
Quand mon cĆur de crocodile sâen meÌle. SâemmĂȘle.
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