Salute, jamais, on s'arrĂȘte (Lamsi)
Jamais, on s'arrĂȘte
Ah, ah
J'vois des bandes de salopes qui s'allient, salute
Jamais, on s'arrĂȘte, prends ton pĂ©tard dans la cari
Change ta vie ou change ton salaire
Connu d'Sevran jusqu'au Mali
Pour le ghetto, j'suis un haut parleur
Les oreilles bouchées, ça écoute pas
J'les vois qui s'croient chauds
La guerre, c'est bastos, c'est pas des crochets
Le titre, j'suis venu décrocher pour mon chùteau
Le début, la fin sont similaires
Avant j'te crossais pour six mille eu'
Trop d'malheurs, emmĂȘlĂ©s dans l'milieu
Dix mille questions, j'finis 'tillé
Tard-pé, couteaux comme antillais
J'en ai vu balayer des anciens
Dehors, c'est mauvais, y a pas d'fillettes, y a quoi, y a qui ?
La mort à la clé si t'aboies
Faut mordre, j'suis super borné, mon étoile, j'la suis
J'vais tout arracher, dÚs l'départ, j'suis different sa mÚre, ouh
Plein daler, j'régale ma mÚre
Mon cĆur par terre, ma tĂȘte est partout
Ils savent pas que j'rĂȘve juste de partir
Tout ces putains d'bĂątards et le poids sur mon dos
Il encule mes lombaires, ouh
Trente ans, j'connais pas mon pĂšre, ouh
Trop d'balances, j'connais pas mon poids, ouh
D-A Uzi du 9-3
J'vois des bandes de salopes qui s'allient, salute
Jamais, on s'arrĂȘte, prends ton pĂ©tard dans la cari
Change ta vie ou change ton salaire
Connu d'Sevran jusqu'au Mali
Pour le ghetto, j'suis un haut parleur
Les oreilles bouchées, ça écoute pas
J'les vois qui s'croient chauds
La guerre, c'est bastos, c'est pas des crochets
Le titre, j'suis venu, décrocher pour mon chùteau
Nan, mais dis-moi, tu vas faire quoi, toi ?
Quand tu parles, moi, j'suis Ă Bali
Ces fils de putes, je les bois comme une Badoit
Bourré au volant d'la Ferrari
J'viens du département d'Nino Ferrara
Ouais, il en faut deux secondes pour démarrer
Si un frérot t'insulte ta mÚre
Toi, t'es malade, y a que l'enfer qui peut nous séparer
Connu l'CJD, enculé d'ta tante
On a piétiné des mecs dans les salles d'attente
AprĂšs le parloir, ils veulent nous fouiller
J'ai scotché deux cent grammes derriÚre les portes battantes
AprÚs, j'envoie l'auxiliaire récupérer
Sa commission, c'est un morceau Ă cinquante
Il parlait pas, un d'ces minots, j'avais seize ans
Ă neuf heures du mat', j'allais braquer dans la banque
Allez nique ta mĂšre, j'te paye pas
Ton manque de respect dans l'loyer d'la maman
La vie, sur la mĂšre, on rigole pas
J'ai la meilleure avec moi Ă©videmment
J'fais pas l'jour de l'an, j'fĂȘte que les millions
D'ailleurs ce weekend, j'en fĂȘte encore un
J'Ă©vite les porcs, hein, les pĂštes de mort, hein
Et si t'es fort, hein, y a des armes de forrains
J'vois des bandes de salopes qui s'allient, salute
Jamais, on s'arrĂȘte, prends ton pĂ©tard dans la cari
Change ta vie ou change ton salaire
Connu d'Sevran jusqu'au Mali
Pour le ghetto, j'suis un haut parleur
Les oreilles bouchées, ça écoute pas
J'les vois qui s'croient chauds
La guerre, c'est bastos, c'est pas des crochets
Le titre, j'suis venu, décrocher pour mon chùteau, ah
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