Tout est maniéré, impeccable, où ça nous mène ?
Tout est enjôlé au hasard, ça nous renseigne
Tout est calculé, c’est trop tard, c’est plus la peine
Tout est dilapidé, connard, pourquoi nous taire ?
Tout s’envole et rien ne s’partage, c’est tous les mêmes
Rien n’décolle, c’est sans foi ni loi, ça ensorcelle
On espère qu’c’est un canular en file indienne
On n’a qu’des réponses standards qui prolifèrent
Mais je bouge, encore une fois je traine
Et je tourne sans trop savoir où ça me mène
Mais je bouge, une dernière fois je t’appelle
Et je tourne sans trop savoir où ça s’arrête
L’hexagone, l’abus du pouvoir, les plus forts tiennent
Les âmes égarées du trottoir sont quotidiennes
Que faire coincés dans ces remparts artificiels ?
Faut-il aller sur le boulevard crier nos peines ?
Mais je bouge, encore une fois je traine
Et je tourne sans trop savoir où ça me mène
Mais je bouge, une dernière fois je t’appelle
Et je tourne sans trop savoir où ça s’arrête
Mais je bouge, encore une fois je traine
Et je tourne sans trop savoir où ça me mène
Mais je bouge, une dernière fois je t’appelle
Et je tourne sans trop savoir où ça s’arrête
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Un texte qui laisse paraître l'humeur révoltée de Nagas. Un révolte envers la société qui nous dicte notre conduite et ses dirigeants qui essaient de nous tenir en laisse. Un appel à bouger et saisir l'instant, profiter de la vie sans attendre qu'on nous enferme dans cette bulle où l'on ne peut plus respirer. Carpe diem !
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