Isolées dans leur contrée là-bas
Elles vivaient de chasse de combats
Pour elles, les hommes n'existaient pas
Ceux qui venaient étaient des proies
La forêt qui les protégeait
Camouflait le fleuve la cité
Celui qui osait la violer
S'exposait à bien des dangers
Exilées... Amazones.
Exilées... Amazones.
Sexy à souhait le long du fleuve
Peintures de guerre sur leur peau neuve
Exotiques anarchistes
Elles s'aimaient sans notre érotisme
Lézards tarentules et boas
Cabanes en chêne et en feuillage
Quoiqu'il advienne ne croyez pas
Que se sont elles les plus sauvages
Exilées... Amazones.
Exilées... Amazones.
Isolées dans leur contrée là-bas
Elles vivaient de chasse de combats
Pour elles, les hommes n'existaient pas
Ceux qui venaient étaient des proies
La forêt qui les protégeait
Camouflait le fleuve la cité
Celui qui osait la violer
S'exposait à bien des dangers
Exilées... Amazones.
Exilées... Amazones.
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Une chanson simple que Nagas joue à chaque concert. Le texte met en évidence la force encore trop insoupçonnée des femmes, et joue avec les codes de la mythologie en reprenant le terme Amazone, définissant la femme guerrière, égale de l'homme, tant dans son courage que dans ses compétences pour le combat.
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