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Paroles de la chanson «Les Violons Tziganes» par François Feldman

Des racines en hiver,
la chaleur de mon pĂšre.
C’est une drîle de lumiùre
qui bien souvent m’éclaire.
Il savait dans les yeux
faire semblant d’ĂȘtre heureux,
au fond de sa banlieue
mĂȘme dans les jours moins bleus.

J’aurais voulu tous les violons tziganes
pour réchauffer ton ùme,
pour t’offrir toutes les femmes.
J’aurais voulu l’amour et la vodka
riant aux Ă©clats, faire une chanson pour toi.

Je ne suis pas TchaĂŻkovski,
ce n’est rien qu’une mĂ©lodie.
Pour parler de Varsovie,
t’auras pas de symphonie.

Les traditions de mon pĂšre,
toutes les choses d’hier,
la famille et la guerre,
c’était comme des repĂšres.

J’aurais voulu tous les violons tziganes
pour réchauffer ton ùme,
pour t’offrir toutes les femmes.
J’aurais voulu l’amour et la vodka
riant aux Ă©clats, faire une chanson pour toi.

Seul, dans la neige immense,
lĂ -haut, je sais que tu danses.
Au milieu du silence,
j’aime pas ton absence.
Pas de livre assez grand
pour tous mes sentiments.
Je voulais rester enfant ;
pourquoi t’as foutu le camp ?

J’aurais voulu tous les violons tziganes
pour réchauffer ton ùme,
pour t’offrir toutes les femmes.
J’aurais voulu l’amour et la vodka
riant aux Ă©clats, faire une chanson pour toi.

J’aurais voulu tous les violons tziganes
pour réchauffer ton ùme,
pour t’offrir toutes les femmes.
J’aurais voulu l’amour et la vodka
riant aux Ă©clats, faire une chanson pour toi.

 
Publié par 101982 4 5 7 le 27 novembre 2021 à 8h37.
Des Larmes Et De L'amour
Chanteurs : François Feldman

Voir la vidéo de «Les Violons Tziganes»

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