Quand elle danse au soleil,
Tous les saints du ciel lui tournent les yeux
Le désir qu'elle éveille, n'a pas son pareil
Pour rendre amoureux
Les femmes la détestent, la traitent de tout,
Comme une moins que rien,
Et les hommes ne rêvent que du creux de ses reins
Quand elle vient au village,
Un parfum sauvage monte des ruelles
La vue sur son corsage, offre un paysage à rendre infidèle
Dès le premier regard, ce que l'on ressent
Sans rien savoir d'elle,
C'est qu'elle a du talent, jusqu'au bout des dentelles
Aïe, aïe, aïe, Maria, Maria, Maria,
Une nuit dans tes bras m'a mis le coeur en croix
Aïe, aïe, aïe, Maria, Maria, Maria
Bohémienne et diva, elle est tout à la fois,
Aïe, aïe, aïe, Maria,, Aïe, âïe, aïe, bohémienne et diva
Quand elle danse aux étoiles, les violons du bal,
Ne jouent que pour elle
Les passions se dévoilent rêvant d'une escale,
Sur sa peau sensuelle
La raison perd le nord, pour suivre son corps
Guidé par l'envie,
De rester avec elle, jusqu'au bout de la nuit
A force de vague à l'âme, j'ai séché mes larmes
Dans ses yeux brûlants,
A sa douceur de femme, retrouvé la flamme d'un nouvel élan
Je n'ai jamais compris, quel vent de folie l'a prise
Un matin, me laissant pour la vie
Le plus gros des chagrins
Aïe, aïe, aïe, Maria, Maria, Maria,
Une nuit dans tes bras m'a mis le coeur en croix
Aïe, aïe, aïe, Maria, Maria, Maria
Bohémienne et diva, elle est tout à la fois,
Aïe, aïe, aïe, Maria,, Aïe, âïe, aïe, bohémienne et diva
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