Je tâai dit : « que la danse de la guerre commence.
Peins ton visage et attrape ta lance ».
JâĂ©tais en guerre, jâĂ©tais si fiĂšre.
Pardonne mes offenses.
Tu Ă©cris que ton cĆur est mort et froid,
Quâil a gelĂ© juste aprĂšs le combat,
Que le printemps ne viendra pas.
Il faut se faire à ça.
Fondent-elles les neiges Ă©ternelles
Au sommet des montagnes ?
Il paraĂźt que mĂȘme en hiver,
Il fait chaud sous la terre.
Nous sommes un arbre qui quittera sa souche,
Deux éveillés qui maintenant se couchent.
Qui chantera lâode aux blessĂ©s ?
Qui viendra les pleurer ?
Fondent-elles les neiges Ă©ternelles
Au sommet des montagnes ?
Il paraĂźt que mĂȘme en hiver,
Il fait chaud sous la terre.
Je nâaurai pas la force de tenir,
Malgré mon jeune ùge et mon avenir,
Radieux, ils le disent, cela mâĂ©puise.
Ma terre nâest plus promise.
Radieux, ils le disent, cela mâĂ©puise.
Ma terre nâest plus promise.
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