Ma mère avait sorti un proverbe italien
Elle a dit "tu sais, mon fils, plante des fleurs
Les autres les cueilleront pour toi"
Dis-moi quelque chose de tendre
Pour mon cœur amoureux
Je louvoie bord à bord
Pesé de l'existence
Le coureur est fatigué
Des couteaux tirés
Même s'il a de la chance
Que sais-je ?
Quel avis sur la vie ?
La neige
A tamisé les bruits
Pas de certitudes
De promesses au matin
Alanguie, ça c'est sûr
Sur tes fesses ma main
Alors je plante des fleurs
Les autres les cueilleront pour moi
Des violiers de Madère
Le cœur à ciel ouvert
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