Stoppez les programmes, débranchez les mémoires.
Restons dans le noir, restons dans le noir.
Tout a l'air si calme, sur les Ă©crans, y'a plus que du
brouillard.
Plus rien Ă voir, plus rien Ă voir.
La nuit sera parfaite, jamais rien ne se passe.
Dans le ciel, les planĂštes bougent pas souvent de leur
place.
Et pourtant les ghettos dansent, ça rĂ©sonne dans ma tĂȘte.
Et pourtant les ghettos dansent, personne sait pour quelle
fĂȘte.
Et pourtant les ghettos dansent sans joie.
Et pourtant les ghettos dansent sans toi.
Et pourtant les ghettos dansent.
Personne ne meurt de faim, personne ne meurt de rien.
Tout reste en place, tout reste en place, l'enfer sert Ă
rien.
Quand on a le paradis sous la main
Tout le monde s'embrasse, tout le monde s'embrasse.
Nos vies sont parfaites, jamais rien ne change.
Dans le ciel, les planĂštes font pas plus de bruit que les
anges.
Et pourtant les ghettos dansent, j'entends que ça dans ma
tĂȘte.
Et pourtant les ghettos dansent, personne sait pour quelle
fĂȘte.
Et pourtant les ghettos dansent sans joie.
Et pourtant les ghettos dansent sans toi.
Et pourtant les ghettos dansent.
Pleure pas seul face Ă ton miroir, laisse tes cauchemars au
placard.
Fais voir comment tu danses, fais voir comment tu danses.
Fais voir comment tu danses, comment tu danses.
Fais voir comment tu danses, fais voir comment tu danses.
Les ghettos dansent sans joie, les ghettos dansent sans loi.
Les ghettos dansent sans toi, les ghettos dansent, les
ghettos dansent.
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