Allez ! viens dans ma cabane
Tout lĂ -haut sur la montagne,
Dans la jolie clairiĂšre bien au calme.
On ira se promener
Dans les bois et dans les prés ;
On ne parlera pas du passé.
On vivra de rien du tout
Mais quand on sâaime on sâen fout :
Ătre amoureux, câest dĂ©jĂ beaucoup !
On fâra un petit jardin
Avec des poules et des lapins,
Vers la source entre les grands sapins.
On aura des provisions,
Des armes et des munitions
Et tout ce quâil faut pour tenir bon.
On vivra de rien du tout
Mais quand on sâaime on sâen fout :
Ătre vivant, câest dĂ©jĂ beaucoup !
Tu sais, le monde peut bien sâĂ©crouler,
Ăa ne mâempĂȘchera pas de tâaimer.
Oh oui ! Le monde peut bien sâĂ©crouler.
SâĂ©crouler.
On ne parlera pas du bon vieux temps,
Quand il Ă©tait encore temps
DâempĂȘcher le grand effondrement,
Quand on criait dans le désert
Mais puisquâon nâa rien pu faire,
Il ne restera plus quâĂ se taire.
Il nây aura plus rien du tout
Mais quand on sâaime on sâen fout :
Ătre vivant, câest dĂ©jĂ beaucoup !
Tu sais, le monde peut bien sâĂ©crouler,
Ăa ne mâempĂȘchera pas de tâaimer.
Oh oui ! Le monde peut bien sâĂ©crouler.
SâĂ©crouler.
Tu sais, le monde peut bien sâĂ©crouler,
Ăa ne mâempĂȘchera pas de tâaimer.
Oh oui ! Le monde peut bien sâĂ©crouler.
SâĂ©crouler.
Tu sais, le monde peut bien sâĂ©crouler,
Ăa ne mâempĂȘchera pas de tâaimer.
Oh oui ! Le monde peut bien sâĂ©crouler.
SâĂ©crouler.
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