Tout doucement, elle ondule si fragile,
Timidement l'envie se déshabille
Inconsciemment son espoir me respire, encore.
Impertinent, ce frisson qui s'infiltre,
Passionnément, un soupçon qui s'éclipse,
Sans contrĂŽle elle me frĂŽle et sa peau me console.
A contretemps, souffrir dans sa chaleur,
Toucher son ventre, et rougir de douceur,
DĂ©sir intense, nos deux corps se ressemblent,
Sans expĂ©rience, sans vouloir mĂȘme comprendre
S'envoler jusqu'au bout,
S'envoler jusqu'au bout.
Et lentement, nos silences se retirent,
AveuglĂ©ment, je nâveux pas qu'elle me quitte,
Physiquement, ce mystĂšre qui m'inspire, encore.
Imprudemment, mes doigts la redessinent,
Jalousement, me blottir sur son Ăźle,
M'Ă©garer dans l'erreur, son chagrin me fait peur.
A contretemps, souffrir dans sa chaleur,
Toucher son ventre, et rougir de douceur,
DĂ©sir intense, nos deux corps se ressemblent,
Sans expĂ©rience, sans vouloir mĂȘme comprendre
S'envoler jusqu'au bout,
S'envoler jusqu'au bout.
A contretemps, souffrir dans sa chaleur,
Toucher son ventre, et rougir de douceur,
DĂ©sir intense, nos deux corps se ressemblent,
Sans expĂ©rience, sans vouloir mĂȘme comprendre
S'envoler jusqu'au bout,
S'envoler jusqu'au bout.
Tout doucement, elle ondule si fragile,
Timidement l'envie se déshabille
Inconsciemment son espoir me respire, encore.
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