Dans ma maison de pain d’épice, le cochon savant de la malice
Dévide posément, sans se presser, la comptine moqueuse infiniment tressée
De ma mauvaise foi et de mes faux procès.
Dans mon palais de sucre glace, j’interroge le reflet qui s’efface
Dans le miroir têtu de la confesse ;
Il joue de la tortue sur la chanson de geste de ma mauvaise foi.
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment