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Paroles de la chanson «Djamilla, La Fille Du Pacha» par Pierre Perret

J'ai vu ma fiancée Djamilla
C'est la fille du Pacha
Elle avait des belles chaussettes bleues
Mais en regardant mieux
Elle était nue comme un loukoum
Surprise par le simoun
Elle dit cette place de l'opéra
C'est fou ce qu'il y fait froid

Le soleil couchant était là
Mais il ne se couchait pas
Est-ce que tu m'aimes
Non mais je te veux
Le vent hurlait dans les palmiers
Devant le palais Garnier
Et les passants tournaient la tête

A cause de ses chaussettes
Je suis navrée dit-elle gaiement
Je viens d'un enterrement
En serrant la louche des parents
J'ai dû perdre mes gants

On s'est caressés comme des bêtes
Elle a mis sa violette
Quand j'y ai montré le baiser persan
Sur un tapis d'orient
J'ai vissé ma langue dans sa bouche
Jusqu'au fond de ses babouches
Pendant trois jours dent contre dent
On a fait le ramadan

Le grand Pacha avait le cafard
Devant son pot de caviar
Viens ce soir dit-il qu'on rigole

On dînera au pétrole
Y'm dit cette sale gosse me tracasse
Elle en pince pour Tégnace
Mais je te refile si tu l'épouses
Mon usine de coucous

Le soleil couchant était là
Mais il ne se couchait pas
Est-ce que tu l'aimes
Non mais je la veux

 
Publié par 101667 4 5 7 le 25 septembre 2021 à 8h33.
Cuvée 71
Chanteurs : Pierre Perret
Albums : Cuvée 71

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