Jâai passĂ© ma vie
Ă tomber les filles
Est-ce que je suis fier de ça
Jâai cassĂ© ma force
Ă bomber le torse
Mais quâest-ce que jâai su faire de moi
Jâai mangĂ© mes plumes
Avalé la lune
Mais la nuit, qui me consolera ?
Je me souviens,
Mes yeux dâenfants Ă la fenĂȘtre
Au loin,
Y avait des millions de peut-ĂȘtre
Et de mes mains,
Je faisais presque tout de presque rien
Que jamais ma joie ne se perde en chemin
Jâ regarde en arriĂšre
Toute ma carriĂšre
Quâest-ce que jâai su faire de moi
Jâai mis dans ma poche
Tout ce qui accroche
Est-ce que je suis fier de ça
Jâai mangĂ© mes larmes
Avalé mon ùme
Mais la nuit me consolera
Je me souviens,
Mes yeux dâenfants Ă la fenĂȘtre
Au loin,
Y avait des millions de peut-ĂȘtre
Et de mes mains,
Je faisais presque tout de presque rien
Que jamais ma joie ne se perde en chemin
(Que jamais ma joie ne se perde)
(Que jamais ma joie ne se perde)
(Que jamais ma joie ne se perde)
(Que jamais ma joie ne se perde)
Je me souviens,
Mes yeux dâenfants Ă la fenĂȘtre
Au loin,
Y avait des millions de peut-ĂȘtre
Et de mes mains,
Je faisais presque tout de presque rien
Que jamais ma joie ne se perde
(Je me souviens),
Mes yeux dâenfants Ă la fenĂȘtre
Au loin,
Y avait des millions de peut-ĂȘtre
Et de mes mains,
Je faisais presque tout de presque rien
Que jamais ma joie ne se perde en chemin
(Je me souviens),
Mes yeux dâenfants Ă la fenĂȘtre
Au loin,
Lâimpression de tout reconnaĂźtre
Et de mes mains,
Je faisais presque tout de presque rien
Que jamais ma joie ne se perde en chemin
Que jamais ma joie ne se perde en chemin
Que jamais ma joie ne se perde en chemin.
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